La fluence d’un flash en J/cm² dépend de plusieurs facteurs :
- La distance entre la lampe et l’objet à décontaminer
- La tension appliquée sur la lampe
- Le nombre de flash
Le VDMA (Verband Deutscher Maschinen- und Anlagenbau) [1] précise dans son code d’usage, permettant de tester l’efficacité des dispositifs de stérilisation des emballages, que les inoculums doivent être préparés sans utiliser de solution saline. En effet, pendant le séchage des inoculums, la présence de sel forme une couche protectrice qui a un impact significatif sur les résultats de décontamination.
Telle une règle de grammaire, les termes décontamination, désinfection et stérilisation suivent des règles microbiologiques.
La technologie lumière pulsée ou UV pulsés, en tant que source de décontamination, se doit d'employer les bons termes.
Des années 70 à aujourd'hui, nous retraçons l'histoire de la lumière pulsée pour la stérilisation. De la découverte au Japon, en passant par les nombreuses recherches réalisées aux Etats-Unis jusqu'à sa commercialisation dans le monde entier. Il a fallu une trentaine d'années pour que cette technologie soit reconnue et exploitée.
« Que ton alimentation soit ta médecine » disait Hippocrate (460-370 av. J.C.). Depuis l’alimentation a bien évolué, colorants, conservateurs, alcools, pesticides, … Les dates limites de consommation sont de plus en plus longues, les produits de plus en plus sophistiqués et pour cela, les industriels utilisent le plus souvent des produits chimiques. Quelles sont les alternatives ?
Les systèmes de décontamination diffèrent selon les milieux industriels dans lesquels ils sont utilisés et selon les niveaux de décontamination souhaités.
Cet article est un bref aperçu des différents systèmes de décontamination utilisés dans l’industrie et leur comparaison avec la technologie de décontamination par lumière pulsée.